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Une charmante visite [Emera]



 
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 Une charmante visite [Emera]

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Aaron Vawlish

Aaron Vawlish


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MessageSujet: Une charmante visite [Emera]   Une charmante visite [Emera] EmptyVen 14 Sep - 20:08

Emera & Aaron

CRÉDIT - CSS


Mon jour de repos, j’admets que pour une fois je suis amplement satisfait de ne rien faire. Evidemment j’ai toujours en tête ma mission auprès du Seigneur des Ténèbres, qui souhaite ardemment que je fasse l’espion au Ministère. Une mission que je fais, ma foi, très bien. Je suis dans les petits papiers du Ministre en personne.
Puis ma position au sein du Ministère, fait de moi quelqu’un d’assez important et de plutôt bien placée.
La juridiction magique, un domaine que j’affectionne, j’étais née pour devenir le meilleur avocat magique de la cour de justice sorcière.
Je voyais le regard des autres sorciers, j’étais important, charmant, plaisant, un Sir dans toute sa splendeur.
Satisfait au plus haut point de ma propre personne je sortais de ma chambre, si agréable soit elle, pour descendre aux salons.
Ouvrant des deux mains mes doubles portes en chênes sertie de feuilles d’or, j’entrais d’un pas vif et me dirigea vers mon fauteuils en cuir vert sombre.
Au moment où mon royal postérieur se posé sur le cuir moelleux du siège, mon elfe arriva et s’inclina bien bas.

« Monsieur désire quelque chose ? Demanda la voix claire de mon elfe.

Rajin, était mon elfe depuis que j’avais 5 ans, il avait presque fait office de nourrice, et j’avais pour lui une sorte de respect, une chose que peu de sang pur comprenne, en fait, je considère bel et bien les elfes comme des êtres sous-jacent, mais je leurs témoigne un certain respect, je parle poliment et parfois même je me confie a lui.
Grâce à cela, j’ai obtenu sa totale loyauté et sa totale soumission, il adhère même aux idées du Maître.
Et il vient me quérir sans que je ne l’appelle.

« Mmh j’admets avoir envie d’un petit verre d’alcool » Dis je d’une voix assez peu présente.
« Le maître désire un alcool en particulier ? Une date ? Une couleur ? Une note douce, épicé ou sucré ? »
« J’ai foi en toi, choisie moi ce qu’il te plaira, sert moi en un bon verre accompagnée de quelques biscuits peu sucré et d’un cigare

L’elfe acquiesça et se rendit dans une petite pièce adjacente au salon, une sorte de cave froide ou étaient stockée une multitude de bouteilles, il attrapa de ses longs doigts une fine bouteille d’un vert si pale qu’il en était presque blanc, il referma la pièce et ouvrit une armoire pour prendre un verre délicat, un verre miroitant, brillant, dont la lumière scintillait aux travers, il retira le bouchon de la bouteille, versa le liquide incolore dans le verre, posa le tout sur un plateau d’argent, accompagné d’un plat rond ou trônait des biscuit de couleurs claire. Il ouvrit ensuite un placard et retira une boîte de bois sombre, il ouvrit le fermoir et sortie un cigare brun foncé, qu’il déposa dans un socle a cet effet avec un cendrier d’argent sertie de pierre noire.
Puis d’un pas noble il déposa le plateau devant mes yeux, s’inclina respectueusement puis entrepris de ranger la dite bouteille.

Je pris le verre entre mes doigts et senti doucement l’odeur, mmh, je fermais les yeux en reconnaissant un alcool de pomme irlandais que j’aimais tant, mi sucré, mi fort, le tout marié a ses petits gâteaux et a ce cigare brésilien.
Ah une bonne journée s’annonce.
Le heurtoir de la porte résonna dans toute ma demeure, levant un regard vers ma double porte, je vis mon elfe qui accourait précipitamment vers celle-ci l’ouvrant rapidement et prenant la direction du hall d’entrée, j’entendis ses petits pas précipité dans le couloir de marbre puis la porte s’ouvrir suivit de la voix de Rajin.

Bienvenue chez Sir Aaron Vawlish Madame McNair, je vois en pris entrez donc, le maître est au salon, laissez-moi donc vous y conduire Fit l’elfe poliment en s’inclinant bien bas devant la visiteuse de son maître.

Quand la jeune femme fut entrez, il referma la porte et partie en sa compagnie le long du couloir pour ensuite ouvrir la double porte et faire entrez la jeune femme.

« Maître, vous avez la visite de Madame McNair Annonça l’elfe.
« Merci Rajin » Dis-je a mon elfe en me levant, je pris la direction de la jeune femme, pris sa main pour y déposé un baiser. Emera ! Que me vaux le plaisir de ta douce visite ma chère amie ? Assied toi donc, désire tu un thé, un verre, des douceurs ? M’exclamais je avec un sourire charmant.
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Emèra Macnair

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MessageSujet: Re: Une charmante visite [Emera]   Une charmante visite [Emera] EmptySam 15 Sep - 11:03

Emèra Macnair, âgée de vingt cinq ans, avait déjà pour réputation d'être une épouse parfaite. Elle était douce, attentive et entièrement dévouée à son époux, Walden, mais servait aussi la cause des Sangs-Purs avec ferveur. Elle avait pourtant acquit une réputation de femme forte, qui ne se laissait pas marcher sur les pieds, puisque tout le monde le savait, Emèra n'avait pas peur du sang, et une Emèra totalement lâchée dans dans la cruauté, pouvait aller très loin, même si Walden ne la laissait que très rarement se défouler sur des Moldus capturés pour éponger les excès de colère du Mangemort.

Ce jour là, la jeune femme s'était réveillée tôt, comme toujours, avant Walden, pour pouvoir descendre à la cuisine et superviser le petit déjeuner préparé par leurs trois elfes de maisons qu'Emèra détestait. Elle n'avait jamais vécu avec ses créatures et avait du mal a comprendre qu'elle ne pouvait pas entièrement s'occuper de son mari. Soit disant, parce qu'il s'agissait là de tâches ingrates pour une sang-pur. Mais laisser des créatures magiques -sachant que Walden détestait toutes les créatures- s'occuper de préparer leurs repas, n'était donc pas plus ingrat ? Elle soupira et commença a inspecter la cuisine en resserrant la ceinture de sa robe de chambre autour de sa taille. Tout était parfait. Comme toujours. Et comme toujours, elle n'aurait rien a faire.
Emèra donna l'ordre de dresser la table avant de remonter se préparer, même si elle n'en aurait pas pour longtemps. Elle était une femme belle et gracieuse, et elle le savait, mais ne s'en jouait pas.

De bonne humeur, une fois enfin parée, elle était allé réveiller Walden qui, comme toujours, c'était finalement levé du mauvais pied.
Ayant apprit à ne plus y faire attention, elle était redescendue à la salle à manger où tout était prêt. Walden l'y avait rejoint, mais elle fut déçue de voir qu'il ne faisait pas attention à elle, ni même à l'énorme effort vestimentaire qu'elle avait fait aujourd'hui. Elle avait espéré que mettre une belle robe sombre et près de corps aurait un minimum attiré son regard. Mais rien. Elle ne désespéra pas et se consola avec la pensée qu'elle devait le laisser se réveiller. Même si... Même si la veille, toute la journée, cela avait été pareil.
Tout à coup, un de leur elfe de maison fit son entrée, tenant entre ses longs doigts tout fins une enveloppe fermé d'un cachet du Ministère.

- Le Maître Walden à reçu une lettre, annonça-t-il en faisait une petite courbette des plus maladroites.

Walden n'eut pas plus d'amabilité qu'il en avait pour sa femme et lui arracha la lettre des mains en poussant un grognement. Il ouvrit l'enveloppe, attrapa le parchemin et le parcouru des yeux avant d'écraser avec brutalité son poing sur la table, faisant sursauter Emèra et l'elfe. Il froissa la lettre et la jeta dans son assiette avant de lancer sa serviette de table sur la table en se levant. Emèra préféra le laisser se calmer tout seul, puisque ce serait sûrement pire si elle venait l'apaiser. Elle le laissa donc ouvrir et claquer toutes les portes comme un gamin contrarié avant de le regarder s'en aller en grognant des insultes.

Emèra soupira et attendit là, sans bouger, durant plusieurs heures. Mais le temps passait et il ne rentrait toujours pas. Elle voulait donc en profiter pour sortir un peu. Elle avait quelques emplettes à faire dans l'Allée des Embrumes et au Chemin de Traverse, mais honnêtement, elle n'avait pas franchement envie d'y aller. Elle songea donc à Aaron, un sorcier qu'elle affectionnait tout particulièrement, et au moins, lui, savait se tenir chez lui, pas comme un certain Macnair en question a qui elle était mariée. D'autant plus qu'aujourd'hui était le jour de congé de son ami, c'était donc le moment où jamais. Elle verifia l'heure et en vint à la conclusion qu'il ne serait sûrement pas occupée.

Tout a coup, elle ressentit comme une énorme bouffée d'oxygène, et sans attendre, elle transplana au manoir de son meilleur ami. Combien sa joie fut grande lorsque son elfe la laissa entrer et ramena avec lui cet homme en qui elle avait tant confiance. Elle le laissa embrasser sa main avec un sourire qui ne faisait que s'agrandir sur son visage tant elle était heureuse de le voir. Si il y avait bien un sang-pur qu'elle appréciait sincèrement, c'était lui. Avec lui, au moins, elle n'avait pas à se montrer aimable, même si elle n'en avait pas envie. Elle ne riait pas par soucis de politesse, elle riait parce qu'il la faisait rire.

Par habitude, elle fit un peu comme chez elle, son air détendu trahissant tous ces longs moments passés chez Aaron. Elle s'assit dans un fauteuil de l'immense salon, ne pouvant plus décrocher son sourire.

- Eh bien... J'espère ne pas te déranger, fit-elle en toute honnêteté. J'avais juste envie de te rendre visite, le manoir Macnair est bien vide.

Elle haussa légèrement les épaules en jouant nerveusement avec ses doigts, comme elle le faisait toujours lorsqu'elle était gênée ou angoissées. Le remarquant au bout de quelques petites secondes, elle se souvenait bien que sa mère lui mettait toujours une petite tape sur les mains en lui reprochant que cela ne se faisait pas. Elle posa donc précipitamment ses mains sur ses genoux en levant les yeux vers Aaron.

- Je veux bien un thé avec une rondelle de citron, s'il te plaît.

Elle aurait bien répondu « un verre de vin » mais ça non plus, ça ne se faisait pas trop selon son éducation irréprochable.

- Alors... que faisais-tu avant que je ne vienne t'interrompre ? s'enquit-t-elle avec un petit air curieux.
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Aaron Vawlish

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MessageSujet: Re: Une charmante visite [Emera]   Une charmante visite [Emera] EmptyLun 17 Sep - 10:19

La jeune femme avait l’air enchanté de voir autant de marque d’affection, si noble et si simple à la fois que son visage en exprimait une douceur et une joie incomparable.
Je connaissais la réputation de ce cher McNair, je savais bien qu’il n’était pas du genre affectueux, et ça avec tout le monde, personne ne faisait exception. Et surement pas sa douce femme. Pourtant Emera était tout simplement formidable.
Pour moi c’était le genre de femme qui me ferait cessé mes actes d’homme volage, bien sûr, je ne gardais jamais une femme car aucune ne m’avait encore volée le cœur. Aucune n’avait su me montrer qu’elle serait LA femme dont j’ai besoin.
J’attendis donc que la jeune femme termine de s’installez aisément, chose qu’elle fit avec grâce et naturel, ces maintes visites font qu’elle connait plutôt bien mon humble demeure.

Eh bien... J'espère ne pas te déranger, fit-elle en toute honnêteté. J'avais juste envie de te rendre visite, le manoir Macnair est bien vide.

Oh je vois Walden a donc reçu la lettre en question…Tu m’excusera je l’espère, c’est moi qui est menée une affaire assez sanglante, une créature qui a outrepassé ses droits, qui a perdu le contrôle et qui a, évidemment, fait des ravages, j’ai dû appliqué une sentence, ça a déchiré le cœur de son maitre mais la créature mérité que l’on mette fin à ses agissement et donc à sa vie et je ne voyais personne d’autre que Walden Mcnair pour « trancher » la question. Dis-je avec fierté et douceur. Je voulais montrer mon dévouement envers les sangs pur, favorisé certaines personnes de confiances, et bien évidemment je voulais montrer mon sens de la justice, mes capacités merveilleuse d’avocat. Tout en émettant un peu de compassion.

Je l’observais tout en parlait, ses mains jouaient nerveusement, je fronçais quelque peu les sourcils quand elle cessa tout simplement cet acte, un acte qu’elle a du s’auto réprimandé. Sa douce voix retînt à mes oreilles tandis qu’elle demandait un thé avec une rondelle de citron.
Je hochai la tête et posa mon regard sur la porte qui venait de s’ouvrir, Rajin vint immédiatement et s’inclina bien bas, attendant l’ordre.

un thé, l’arôme le plus apaisant que tu pourras fournis, orné d’une rondelle de citron, tu prendras aussi quelques douceurs et pour moi une tasse de thé au fruits rouges Dis-je d’une voix simple.

L’elfe repartit toujours en s’inclinant, et referma la porte avec douceur sans un bruit, tandis que la conversation reprenait.

Alors... que faisais-tu avant que je ne vienne t'interrompre ? S’enquit-t-elle avec un petit air curieux.

Oh rien de bien important, je consacre mes jours de repos à me prélassez dans mon fauteuil, a lire le journal, à voir des connaissances ou tout simplement a me promené dans mes jardins, et j’admets éprouvé le besoin d’acquérir une écurie et de faire venir des cheveux irlandais, les ballades équestres me manque et je dois dire que ma défunte mère m’a donnez son amour des chevaux. Sais-tu monter à cheval ma chère ? Si je fais une telle acquisition tu pourras très bien en profité à ta guise et même venir en mon absence, Rajin se fera un plaisir de t’obéir. Confiais-je avec douceur.

Pendant ce temps l’elfe était revenue et déposa un plateau d’argent ou était servie les tasses fumantes ainsi que quelques gâteaux encore tiède.

Pour Madame j’ai opté pour un thé a l’aubépine, l’aubépine calme les mots et apaise l’esprit, j’ai orné sa tasse d’une rondelle de citron japonais dont l’acidité est plus douce, pour le maitre un thé au fruit rouge gorgé de soleil, fraise, myrtille, framboise et cassis. J’ai préparé aussi des petits gâteaux aux gingembres, aux noix, aux oranges confits et aux raisins. En espérant que cela vous conviendra Termina l’elfe.

Tout cela a l’air parfait ! Merci Rajin ! L’elfe s’inclina et partie rapidement en emportant le plateau précédant. Tu ne m’en veux pas d’avoir choisi un thé apaisant pour toi ma chère ? J’ai l’impression que quelque chose te trouble ! Désire tu m’en parlez ? Tu sais que je suis à ton entière disposition. Terminais je avec un sourire.
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Emèra Macnair

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MessageSujet: Re: Une charmante visite [Emera]   Une charmante visite [Emera] EmptyLun 17 Sep - 19:32

Emèra fit outre des bonnes manières aux dires d'Aaron concernant cette fameuse lettre qu'avait reçu Walden et arqua un sourcil, ne masquant absolument pas sa surprise. Il arrivait souvent qu'en compagnie de son ami ou d'autres gens en qui elle avait noué une amitié sincère, elle oublie les bonnes manières ou oublie de masquer ses émotions, agissant ainsi avec naturel. Elle savait cela dit qu'Aaron ne le lui reprocherait pas, elle l'imaginait bien mal se mettre en colère contre elle sous prétexte qu'elle n'avait pas dissimulé sa surprise derrière un sourire travaillé pendant des heures lorsqu'elle était enfant. Pourtant, elle hocha positivement la tête, l'air entendu. Elle avait confiance envers Aaron et envers son talent en matière juridique et savait que quoi qu'il ait envoyé à Walden, c'était pour le bien des sangs-purs.

- Bien-sûr, intervint-elle une fois qu'il eut terminé. Et comment pourrais-je t'en vouloir ? Je ne peux même pas concevoir de vous reprocher de faire votre travail, ni à toi, ni à Walden.

Elle lui adressa un de ses sourires tendres et naturels bien à elle. S'il y avait bien une chose dont il n'avait pas a s'inquiéter, c'était ça.

- Et tu peux avoir toute confiance en lui, il règlera le problème, dit-elle avec un sourire.

Quoi qu'il arriverait, Emèra défendrait son époux. Elle lui avait littéralement prêté allégeance lors de leur mariage et jusqu'à la mort, elle continuerait de le vanter, de l'aider et de défendre sa cause. Ca, tout le monde le savait et Emèra savait que ce détail de leur mariage alimentait souvent les commérages que la jeune femme ne supportait pas. « As-tu vu comme Emèra Macnair à défendu son bourreau? Et dire qu'ils n'ont pas de descendance ! Forcément, l'un d'eux est infidèle. » entendait-elle souvent jaser lorsqu'elle passait. La voix de son ami la sortit de ses pensées si douloureuses.

- Oh rien de bien important, je consacre mes jours de repos à me prélassez dans mon fauteuil, a lire le journal, à voir des connaissances ou tout simplement a me promené dans mes jardins, et j’admets éprouvé le besoin d’acquérir une écurie et de faire venir des cheveux irlandais, les ballades équestres me manque et je dois dire que ma défunte mère m’a donnez son amour des chevaux. Sais-tu monter à cheval ma chère ? Si je fais une telle acquisition tu pourras très bien en profité à ta guise et même venir en mon absence, Rajin se fera un plaisir de t’obéir, confia-t-il avec douceur.

La sorcière s'apprêtait à répondre lorsque l'elfe de maison de son ami apparut, la forçant en ravaler sa phrase. La petite créature verdâtre arriva d'un pas pressé vers eux, et Emèra éprouvait autant de dédain pour Rajin qu'elle en éprouvait pour ses propres elfes. Jamais elle n'avait vu leur utilité, et sûrement jamais elle ne la verrait un jour. Comment une créature pouvait-elle remplacer le savoir d'un sorcier ?
Pourtant, elle eut un léger sourire en voyant le plateau. Elle devait bien avouer que se faire servir était bien plus confortable. Elle prit sa tasse en hochant la tête d'un signe de remerciement qu'elle accompagna d'un de ses sourire aussi doux que sa voix. Peut-être n'aimait-elle pas les elfes de maison, mais ce n'était pas le cas de son ami, et elle respectait ce fait.
La jeune femme écouta ses paroles avec attention. Elle n'aurait pas put espérer mieux. Emèra était une femme tendre et détendue, mais il était vrai que le comportement de Walden l'avait un tantinet hérissée ce matin.
Souriante, elle pressa doucement la rondelle de citron avec le dos de sa cuillère a thé en priant silencieusement pour que sa main ne tremble pas et qu'elle en déverse la moitié sur le tapis. Finalement non, sa main tenu le coup et la jeune femme put porter sa tasse à ses lèvres et laisser un peu du liquide brûlant se déverser dans sa bouche.

- Ce que j'aime beaucoup au Royaume-Uni, c'est bien le thé, fit-elle avec un sourire. Surtout le tien.

Elle eut un petit rire avant de se reconcentrer sur les précédentes paroles d'Aaron. Il lui avait parlé de cheval, précisément, d'équitation, une discipline qu'Emèra connaissait parfaitement bien.

- Si je peux me permettre une remarque... le cheval irlandais est plus pour la chasse si mes souvenirs sont bons. Si tu désires un bon cheval, achètes-en un islandais, ils sont plus solides. Mais si tu désires un cheval polyvalent, le cheval français te conviendrait bien. Peut-être même l'arabe... il est bon coureur, intervint-elle avec douceur.

Emèra venait de BeauxBâtons, où elle avait suivit des cours destinés à faire d'elle une femme gracieuse et l'art de monter a cheval contribuait à lui apprendre à se tenir droite. Encore aujourd'hui, elle en voyait les bien-faits. En quittant son doux territoire français, elle avait abandonné le monde équin pour aller épouser Walden en Irlande. Elle adressa un sourire à Aaron face à ce nouveau point commun. Il avait l'air de s'y connaître, et rare étaient les hommes qui s'y intéressaient. Justement, ce n'allait certainement pas être Walden qui allait lui proposer une balade a cheval alors qu'il haïssait toutes les créatures, si bien magiques que tout a fait banales. Justement, en parlant de lui, Aaron ramenait le sujet, ce qui effaça instantanément le sourire d'Emèra.

- Tu ne m’en veux pas d’avoir choisi un thé apaisant pour toi ma chère ? J’ai l’impression que quelque chose te trouble ! Désire tu m’en parlez ? Tu sais que je suis à ton entière disposition, lui adressa-t-il avec un sourire qui remit légèrement la jeune femme en confiance.

Elle haussa délicatement les épaules, histoire de reprendre le dessus et masquer ses sentiments comme on lui avait toujours apprit. Cela dit, elle ne pouvait retenir un petit toc, celui de caresser nerveusement son alliance qui pesait parfois si lourd.

- Je ne pense pas que Walden apprécie et je ne pense pas non plus que cela se fasse, murmura-t-elle en baissant les yeux.
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Aaron Vawlish

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MessageSujet: Re: Une charmante visite [Emera]   Une charmante visite [Emera] EmptyMar 18 Sep - 9:39

On sentait dans la voix et dans les mots de la jeune femme son éternel dévouement pour son mari, une chose que je n’aimais pas vraiment à vrai dire. Elevé par un père trop violent qui traité sa femme comme un vulgaire elfe de maison et qu’il ne l’utilisait que pour remplir sa couche.
Une des peur profonde que j’avais en moi…Devenir un de ces hommes…J’aimais trop les femmes pour vouloir les traité de la sorte.
Pour moi une femme doit être elle-même, je suis pour ce genre d’extravagance. Une des raisons qui ont fait que Bellatrix et moi-même soyons en quasi parfaite harmonie sur ce genre de sujet. L’indépendance d’une femme est pour moi importante.

La jeune femme montra de l’intérêt pour mon thé, a vrai dire je n’avais aucun mérite, j’étais un amateur de grande gastronomie, tout ce qui se mange ou se boit j’aime y goûté, et j’en parle a Rajin qui s’empresse d’obtenir ce dont j’ai besoin, et quand ça coince je joue de mes relations, de mon titre et de ma fortune. Evidemment cela parait facile, mais j’aime tout et je veux tout avoir à ma portée.
De ce fait, je répondis par un mouvement de ma tasse comme pour dire « mais je t’en prie » ou « je te remercie »J’écoutais donc calmement les mots de mon amie sur les chevaux. Son opinion était assez important pour moi, sachant pertinemment que l’équitation française était assez noble, voir presque fondamentale dans l’éducation d’un bon nombre de famille.


Si je peux me permettre une remarque... le cheval irlandais est plus pour la chasse si mes souvenirs sont bons. Si tu désires un bon cheval, achètes-en un islandais, ils sont plus solides. Mais si tu désires un cheval polyvalent, le cheval français te conviendrait bien. Peut-être même l'arabe... il est bon coureur, intervint-elle avec douceur.

Je fis un mouvement de la main et mon elfe arriva en courant, s’inclinant, un parchemin brun dans les mains, orné d’un seau en bas.

Rajin note donc ceci L’elfe fit apparaitre une plume d’un noir intense et attendis le nez sur le parchemin. Monsieur Plumb, Je suis à la recherche de chevaux de qualité, votre compétence m’est parvenue et de ce fait je vous écrit afin de me renseigner sur certains points.
Auriez-vous en votre possession, ou pourriez-vous m’avoir deux chevaux Irlandais déjà dressé, ainsi que deux Islandais, j’aimais aussi acquérir de 4 cheveux français, je pencherais pour des selles français si cela est possible, et bien évidemment j’aimerais connaitre vos Arabes disponible, je pense en prendre aux moins 2.
Par la même occasion, je suis prêt a vous donnez une forte commission si vous pouvez me répondre avant la fin de la semaine et que la livraison soit faite pour la fin du mois en cours.
Par la présente bla bla bla, tu mettras les formules d’usage. Tu envoies ça par hiboux express et ensuite je veux que tu contacte un constructeur pour mon écurie, évidemment tu connais le budget par cœur je te fais confiance, va Rajin.
L’elfe hocha vigoureusement la tête et s’empressa de partir.

Je souriais a la jeune femme, Merci de tes conseils ma chère, je savais que tu serais parfaite sur le sujet, me voilà bientôt futur propriétaire d’une belle écurie dont je pourrais jouir fièrement et qui sera aussi a ta disposition quand tu le souhaitera. Terminais je avec un second sourire tout en baissant la tête en signe de remerciement.

Puis nous abordâmes, un sujet qui apparemment la mie légèrement mal à l’aise, son état moral, a vrai dire je m’en inquiétais quelque peu et a voir son faux haussement d’épaule et sa voix basse indiquant que cela ne se faisait pas.

Emera…Je suis ton ami non ? Crois-tu que j’ai quérir ton mari pour lui conté nos conversation ? Je ne suis peut-être pas une femme qui sera capable de comprendre tes états d’âme mais crois moi je ferais mon possible pour t’écouter, te conseillez ou te remonté le moral. Puis je pense que tu me connais assez bien pour savoir que je ne suis pas le genre de personne qui applique tout les protocoles…Je suis l’un des rares sorciers a avoir du respect pour les créatures magiques et non magique, cela est mon opinion et les gens qui s’y oppose ne le font jamais ouvertement en ma présence. Enfin tout ça pour te dire, que pour moi les « ça ne se fait pas » sont prohibé dans ma demeure, içi si tu veux te gratté le nez tu peux le faire sans pour autant dire que tu va aux toilettes. Suis-je clair ? Dis je avec confiance et une pointe d’humour.

Oui j’étais de ses personnes qui se fiche de l’opinion des autres, j’avais mes convictions, ma façon de vivre, et je vivais bien, regardez donc…Une demeure qui s’étend sur plusieurs hectares, j’ai un titre de Sir, je suis fortuné, célèbre, élu meilleur avocat. Enfin que voulez-vous, je suis comme je suis et je l’assume. Et j’ai gardez mes amie, du moins je suis proche des Black et bien sur des McNair, enfin de tous les sang purs, en vue de mes réceptions que j’organise autant pour recruter des mages noirs pour le maitre que pour me faire bien voir.
Tout le monde me connait au moins de nom, alors personne n’osera me dire que mon comportement nui au sang pur…Non personne, a moins d’en subir d’atroce conséquence, seul le maitre et Bellatrix connaissent mon côté sadique, un côté noir profond, un sadisme conséquent, violent et sanglant. Le sadisme d’un homme qui a tué son propre père pour devenir puissant.
Comme le maitre oui…Mais ça je ne le sais pas…
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Emèra Macnair

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MessageSujet: Re: Une charmante visite [Emera]   Une charmante visite [Emera] EmptyMar 18 Sep - 20:22

Emèra écouta Aaron dicter la lettre à son elfe avec un sourire des plus amusés, qu'elle ne se compliqua pas a contenir. Elle était plus à l'aise ici qu'au manoir des Macnair, où de toute évidence, elle ne s'était jamais vraiment sentie chez elle.
Deux chevaux irlandais, deux islandais, quatre chevaux français et deux arabes. Emèra réfléchit quelques petites secondes. A BeaxBâtons, il y avait un pré, où bon nombres de chevaux coulaient leurs jours. Elle était issue d'une famille de directeurs de cette école, son père avait été remplacé par une jeune femme, Olympe Maxime, mais il en avait gardé tout son prestige. Ils disposaient eux-même d'un élevage privé.

- Tu devrais en adresser une à Gustave Lecomte, en précisant que tu es un ami à moi. Il s'occuperait sûrement de ça dans des délais les plus brefs et tu pourrais avoir pleine confiance en lui, proposa-t-elle d'une voix douce.

Elle n'avait pas précisé que ce Gustave Lecomte en question n'était autre que son père. De toute manière, il n'était pas son dernier recours. Elle avait un oncle qui pourrait aussi aider son ami, mais la jeune femme avait surtout confiance en le savoir de son père.
Emèra souffla doucement sur le liquide brûlant qui remplissait la fine tasse de porcelaine avant de la porter à ses lèvres. Une fois de plus, la douceur du thé l'emporta. Les boissons chaudes étaient toujours très agréables, mais les thés comme ceux que son ami possédait la réconfortaient toujours bien plus.
Cela dit, les paroles du Mangemort la firent sortir de ses pensées.

- Emera… Je suis ton ami non ? avait-il entamé. Crois-tu que j’ai quérir ton mari pour lui conté nos conversations ? Je ne suis peut-être pas une femme qui sera capable de comprendre tes états d’âme mais crois moi je ferais mon possible pour t’écouter, te conseillez ou te remonté le moral. Puis je pense que tu me connais assez bien pour savoir que je ne suis pas le genre de personne qui applique tout les protocoles… Je suis l’un des rares sorciers a avoir du respect pour les créatures magiques et non magique, cela est mon opinion et les gens qui s’y oppose ne le font jamais ouvertement en ma présence. Enfin tout ça pour te dire, que pour moi les « ça ne se fait pas » sont prohibé dans ma demeure, içi si tu veux te gratté le nez tu peux le faire sans pour autant dire que tu va aux toilettes. Suis-je clair ?

La jeune femme ne put retenir un petit éclat de son rire si mélodieux, et pourtant parfaitement naturel.
Non, bien-sûr que non, Aaron n'irait jamais répéter leurs conversations, elle le savait du plus profond d'elle même. La confiance qu'elle éprouvait d'ailleurs à son égard ne l'avait jamais trompée et elle lui était presque vitale.
Donc, elle laissa toutes ses bonnes manières de coté, et laissa tous les signes d'angoisses apparaître : elle passa nerveusement sa main dans ses cheveux, joua de la même manière avec ses doigts et laissa fuir son regard. Ah ! Si sa mère la voyait ! Mais bon, peut-importe, il n'y avait que de rares moments où Emèra se sentait libre de ses actes et elle sentait bien que cet instant là en faisait partit.

- Eh bien... commença-t-elle d'une voix presque inaudible.

Elle était une femme très pudique, et avait bien du mal à dire les choses qu'elle pensait lorsqu'elles n'étaient pas adéquates.
« Mon mari m'emmerde » eut-elle envie de lui dire. « Walden est un macho que j'ai envie de tuer à coup de couteaux à beurre. » Mais elle se retint. Non pas qu'elle craigne Aaron, elle avait surtout honte d'oser penser cela.

- C'est encore avec Walden,
lâcha-t-elle abruptement. Je n'arrive pas à comprendre ce qu'il me reproche. Enfin... si... Je sais qu'il veut absolument un héritier et qu'il perd entièrement patience à ce sujet là. Mais est-ce une raison pour se comporter avec moi de la même manière qu'il traite ses elfes de maison ?

Elle plongea ses yeux dans le regard bleu foncé de son ami et préféra entièrement dévoiler sa pensée tant que la culpabilité ne la rongeait pas.

- J'ignorais que l'épouser rendrait ma vie si solitaire. Est-ce donc normal je ne n'arrive pas a trouver comment jouer mon rôle d'épouse ?


Emèra se tut. Elle en avait déjà dit énormément. Peut-être même trop. Jamais elle ne se confiait ainsi. Elle envoyait bien régulièrement des lettres à sa mère, pour lui demander conseil, mais jusqu'ici, ses réponses ne l'avaient jamais vraiment aider. Ce n'était tout de même pas sa faute si elle n'arrivait pas a tomber enceinte plus de trois mois ! Et pourtant... elle avait le sentiment que Walden la tenait pour unique coupable et qu'il lui en voulait, et ça, c'était bien la pire chose selon la sorcière.
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Aaron Vawlish

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MessageSujet: Re: Une charmante visite [Emera]   Une charmante visite [Emera] EmptyMer 19 Sep - 13:43

- Tu devrais en adresser une à Gustave Lecomte, en précisant que tu es un ami à moi. Il s'occuperait sûrement de ça dans des délais les plus brefs et tu pourrais avoir pleine confiance en lui, proposa-t-elle d'une voix douce.

Je pense lui envoyez une lettre si je n’ai pas de réponses sous 2 jours, et à la réflexion j’en enverrais une quand même afin de voir les prix qui me sont proposé, si ce Monsieur est une de tes connaissances alors il aura toute ma confiance. Dis-je avec conviction.

Une fois encore je prenais ses dires en considération, pour moi une femme à le droit de s’exprimer. Bien sûr, suivant mes invités je peux voir dans les yeux de l’homme une étincelle d’horreur et d’égoïsme quand je demande leurs avis à leurs douces épouses.
Peu de sorcier laisse leurs femmes s’exprimer. Evidemment je ne suis pas de ce genre.

En tout cas mon argumentation sur notre amitié et sur mes petites failles protocolaires eurent don de la faire rire, chose que j’apprécier beaucoup.
Je savais que la confiance qu’elle me portait était importante et elle savait que j’étais loyal, peut de personne le sont. J’admets avoir fréquenté un bon nombre de femme marier alors que j’avais acquis la confiance aveugle de leurs marie. Mais après tout je suis un homme, et ces histoires furent celle d’une nuit sans lendemain.
Une sorte de commission en nature pour ma petite personne.

En tout cas tout dans le comportement de la jeune femme trahissait une appréhension, un manque de confiance, une peur dévorante, elle commença sa phrase si bas que je du penchez l’oreille pour entendre le « eh bien ». Je plongeai mon regard dans le sien le tout accompagné d’un sourire confiant pour qu’elle puisse continuer.

- C'est encore avec Walden, lâcha-t-elle abruptement. Je n'arrive pas à comprendre ce qu'il me reproche. Enfin... si... Je sais qu'il veut absolument un héritier et qu'il perd entièrement patience à ce sujet-là. Mais est-ce une raison pour se comporter avec moi de la même manière qu'il traite ses elfes de maison ? Dit-elle en soutenant mon regard, je sentais en elle une fureur digne des harpies, si elle avait son mari face à elle je suis sure qu’elle lui aurait planté un couteau dans le cœur sans la moindre hésitation.
J'ignorais que l'épouser rendrait ma vie si solitaire. Est-ce donc normal je ne n'arrive pas a trouver comment jouer mon rôle d'épouse ?

Le premier soucie pouvait en quelque sorte être très compréhensif, désiré un héritier pour continuer à anoblir le sang, que les sous races ne soit pas trop remise sur le haut. Oui je pouvais comprendre l’envie de Mcnair, mais de là à traité Emera comme une elfe…
Bien sûr Walden était connu pour son côté…bourreau suis-je puis dire ? Voir même gauche, ronchon, brute, il n’a pour moi RIEN de noble.

En premier ma chère, sache que je peux comprendre le désir d’avoir une descendance…Moi-même j’espère encore trouvez celle qui comblera mon cœur et ma lignée, en revanche, je suis d’accord sur le fait qu’il ne devrait pas te traité de la sorte. Commençais je d’une voix à la fois compréhensive et douce puis je repris Et si je peux me permettre, je te conseille de prendre rendez-vous chez le médicomages Renouet, un sorcier compétent de le domaine, qui te fera passez un examen médical sur ta capacité a enfanté. Tu peux même lui dire que tu viens de ma part, j’ai était son avocat il y’a un an et je ne pense pas qu’il sera en désaccord. De plus ne t’affole surtout pas, cet examen te permettra de savoir si le problème viens de toi ou de lui Terminais je en prenant ma baguette et en l’agitant, un parchemin arriva et se posa sur la table avec une plume d’un bleu lagon, je notais le nom du médicommage et je tendis le parchemin à la jeune femme.

Puis je repris ma place correctement pour la regarder et parlementé sur le deuxième problème, un soucie qui me déplaisaient.

Je te défends de dire que tu ne joues pas ton rôle d’épouse…Que tu es était promise à un tel homme ça ma chère je ne le comprendrais jamais…Je me suis toujours demandé comme un rustre pareil, excuse-moi, a pu avoir une perle comme toi…Par merlin si je ne me retenais pas j’aurais fait capoté votre union nom d’un bézoard. Emera tu as tout de la femme parfaite, aimante, passionnée, rigoureuse, tu défends ton époux de toute ton âme. Ce n’est pas toi qui est à blâmé mais ce coupeur de tête ! M’exclamais je avec force, mon regard brillaient presque de colère.

Je ne tolère pas qu’une femme se rabaisse ainsi, surtout pas chez moi et encore moins quand c’est une femme que j’apprécie. Ah si je pouvais la courtisé, l’enlevé a cet imbécile, je m’en ferais une joie, et je n’ai aucunement peur de Walden, bien au contraire, j’ai peur que du maitre, une peur respectueuse certe, mais présente.
Si elle était ma femme elle serait devenue Lady Emera Vawlish, elle posséderait tout ce qu’elle désire, elle aurait mon cœur, mon âme et si elle ne me donne pas d’enfant alors tant pis, nous auront le reste, argent, notoriété, amour, voyage, luxe, tout…
Ah la vie est mal faite parfois nom d’un gnome…
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Emèra Macnair

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MessageSujet: Re: Une charmante visite [Emera]   Une charmante visite [Emera] EmptyMer 19 Sep - 19:22

- Je pense lui envoyez une lettre si je n’ai pas de réponses sous deux jours, et à la réflexion j’en enverrais une quand même afin de voir les prix qui me sont proposé, si ce Monsieur est une de tes connaissances alors il aura toute ma confiance, lui assura-t-il.

La jeune femme ne put s'empêcher de rire. Un rire franc, amusé, et joyeux. Doux, mélodieux,et attendrissant. Un rire qui reflétait purement la belle Emèra. Après tout, elle portait le prénom de la déesse du jour, ne pouvait-elle pas se montrer rayonnante et faire honneur à son prénom ?

- Je lui adresserai aussi une lettre, en lui affirmant te connaître. Il te répondra sûrement bien plus vite ainsi. Après tout, que pourrait-il refuser a son unique fille ? dit-elle sans pouvoir s'empêcher de sourire. Il ne te fera sûrement payer que les chevaux du Nord. Il me semble bien que la jument que j'avais eut à mes seize ans y est encore, elle te correspondrait parfaitement.

Emèra eut un sourire nostalgique en se souvent de ce présent de son père auquel elle tenait particulièrement. Il s'agissait d'une magnifique jument a la robe blanche parfaitement immaculé, dont la couleur était si pure qu'il était difficile de la repérer lorsque le pré était recouvert de neige. Cette jument qu'elle avait dressé elle-même et avec qui elle avait tissé un lien presque indestructible. Presque. Ô combien la peine de la jeune fille avait été immense lorsqu'on lui avait dit que sa précieuse amie ne pourrait pas la suivre en Irlande avec Walden Macnair, l'homme qu'elle devait épouser. Il ne supportait pas « ces immondes bêtes dépourvues de tout sens ». Elle avait bien cru qu'elle allait lui faire cadeau d'une gifle des plus mémorables lorsqu'il avait osé prononcer ces mots.
Bien vite, elle s'était rendu compte que ce n'était pas uniquement les chevaux que Walden haïssait. C'était en fait toutes les créatures. Il l'avait même frappée, lorsqu'à dix sept ans, elle avait osé lui rétorquer que dans le fond, lui aussi était une créature. Cela ne lui avait pas franchement fait plaisir, et Emèra avait passé deux semaines entières à implorer son pardon. De toute manière, il avait bien été obligé de le lui accorder puisque comme tout homme, il avait des désirs à assouvir. Des désires qu'Emèra était sensée combler, même si elle ne le désirait pas toujours.

Justement, Aaron lui demandait de se confier, et Emèra exprimait toujours autant de mal a parler de ce qu'il se passait vraiment entre les deux époux, enfermés dans leur sinistre manoir, perdu au milieu de la campagne irlandaise. Emèra, au comble du mal-aise, se leva. Elle posa sa tasse sur la table basse, et commença a marcher. Non pas pour s'en aller, oh non ! Elle était bien trop bien, ici, en compagnie de son ami, pour oser s'en aller. Au milieu de ses quatre murs clos, elle avait l'impression que plus rien ne pouvait l'atteindre. La sensation qu'Aaron la protégeait réchauffait son tendre cœur en mal de douceur. La jeune femme croisa son reflet dans un immense miroir et avait dire, l'image qu'il projetait d'elle ne la remplit pas de joie. Elle était belle, certes, ça, elle le savait, et ça n'avait pas changé. Mais elle était d'une beauté fragile, le teint blêmit, les épaules frêles, le regard triste. Elle croisa les bras, cette image la faisant frémir.
La jeune Emèra trouva refuge près de la cheminée, a quelques mètres d'Aaron, où la douce chaleur des braises venait caresser sa peau dont les avants bras était encore marqués de traces rouges. La veille, elle avait tenté d'apaiser Walden, mais finalement il l'avait attrapé par les avants bras et n'avait visiblement pas remarqué qu'il resserrait toujours plus son emprise.

- En premier ma chère, sache que je peux comprendre le désir d’avoir une descendance… Moi-même j’espère encore trouvez celle qui comblera mon cœur et ma lignée, en revanche, je suis d’accord sur le fait qu’il ne devrait pas te traité de la sorte, avait-il expliqué d'un ton qui ne froissa pas vraiment Emèra.

Bien-sûr, elle avait déjà été préparée à ça. A toute cette idée que les lignées devaient toujours être prolongées, que seule la pureté du sang méritait de traverser les âges. Pour cela, oui, naturellement, il fallait un héritier, et dans le meilleur des cas, un héritier mâle, pour qu'il puisse transmettre le nom.

- Et si je peux me permettre, continua-t-il, faisait relever les yeux d'Emèra vers lui. Je te conseille de prendre rendez-vous chez le médicomages Renouet, un sorcier compétent de le domaine, qui te fera passez un examen médical sur ta capacité a enfanté. Tu peux même lui dire que tu viens de ma part, j’ai était son avocat il y’a un an et je ne pense pas qu’il sera en désaccord. De plus ne t’affole surtout pas, cet examen te permettra de savoir si le problème viens de toi ou de lui.

Le rouge monta aux joues de la sorcière. Parler de ce sujet plus que tabou chez elle était déjà embarrassant. Mais remettre en question sa fertilité était bien plus désagréable. Voir blessant. Elle faisait tout pour être l'épouse parfaite, et si elle ne pouvait pas donner naissance a un héritier par sa faute, ce n'était pas le gendre de problème qu'on pouvait résoudre.
Mais Aaron faisait déjà apparaître un morceau de parchemin sur lequel il gribouilla quelque chose. Il lui tendit finalement, mais Emèra ne le prit pas. Elle avait sûrement peur de connaître la vérité. Elle avait déjà essayé de se suicider, une fois, parce qu'elle n'arrivait pas à donner naissance à un héritier. C'était Bellatrix Lestrange qui était arrivée à temps et l'avait sauvée.

- Je te défends de dire que tu ne joues pas ton rôle d’épouse…Que tu es était promise à un tel homme ça ma chère je ne le comprendrais jamais…Je me suis toujours demandé comme un rustre pareil, excuse-moi, a pu avoir une perle comme toi…Par merlin si je ne me retenais pas j’aurais fait capoté votre union nom d’un bézoard. Emera tu as tout de la femme parfaite, aimante, passionnée, rigoureuse, tu défends ton époux de toute ton âme. Ce n’est pas toi qui est à blâmé mais ce coupeur de tête ! s'exclama-t-il.

La jeune femme eut le malheur de croiser le regard de son ami et en resta surprise. Il était d'un noir d'encre, comme rarement en sa présence. Aaron avait l'air tellement énervé, qu'Emèra en avait presque oublié que son ami n'était pas toujours le parfait gentleman, et que lui aussi, pouvait se laisser envahir par la rage. Comme Walden. Sa gorge se noua et quelques larmes vinrent perler le coin de ses yeux. Elle retourna vers lui, et s'agenouilla devant lui, a même le sol. Elle prit ses main et murmura d'une voix fluette :

- Je t'en pris, ne te mets pas en colère, pas toi. Ça n'en vaut pas la peine.
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MessageSujet: Re: Une charmante visite [Emera]   Une charmante visite [Emera] EmptyMar 2 Oct - 12:44

Entendre le rire de la jeune femme me faisait un bien fou, c’était comme une bouffée d’air, un air frais pur, cristallin. J’aimais la voir aussi rayonnante, alors comprenez bien que quand je sentais qu’elle aller mal, je devenais relativement en colère.
Puis je n’aimais pas voir une femme malheureuse. J’avais beau être un vrai courreur, jamais je ne cherchais à rendre une femme malheureuse, du moins une sorcière, car oui, les moldue je m’en contrefoue.

Je lui adresserai aussi une lettre, en lui affirmant te connaître. Il te répondra sûrement bien plus vite ainsi. Après tout, que pourrait-il refuser a son unique fille ? dit-elle sans pouvoir s'empêcher de sourire. Il ne te fera sûrement payer que les chevaux du Nord. Il me semble bien que la jument que j'avais eut à mes seize ans y est encore, elle te correspondrait parfaitement.

Plait-il ? Ai-je bien entendu ? Tu comptes me recommandez auprès de ton père ? Ma chère j’en suis flatté ! Et je ne veux pas t’offensé ma chère au contraire, je pense que cela te plaira de savoir que ta jument sera la bienvenue mais qu’elle restera ta propriété. Après tout tu es içi chez toi ! Répondis-je d’une voix douce avec un sourire affectueux.

Après tout si c’est sa jument je ne vais pas la monter, non, je pense que cela lui plaira de savoir que son cheval est entre de bonne main, nourri, logé et choyé et comme cela elle viendra me voir plus souvent.

Quand nous abordâmes le sujet principal et apparemment tabou pour la sorcière je sentie que j’avais peut être commis une erreur. J’avais tenté de la rassuré, de lui donner quelque information, de l’aider.
Je ne pouvais pas tout comprendre a 100% mais en tant qu’amis je faisais de mon mieux pour satisfaire sa requête.
Elle s’était même levée, faisant les cents pas, sans toucher au parchemin que j’avais écrit de ma main, un morceau que je laissai sur la table attendant qu’elle réfléchissent.
Mais quand vint ma colère à l’égard de son manque d’assurance, la jeune tourna vivement la tête vers moi, plongea au sol, prenant mes mains dans les siennes, son regard en émoi.

Je t'en prie, ne te mets pas en colère, pas toi. Ça n'en vaut pas la peine. Murmura la jeune femme.

Prenant ses mains dans les miennes, je les portai à mes lèvres tendrement, mon regard toujours aussi noir.

Comment ne pas me mettre en colère quand je t’entends dire de telle chose Emera ? Tu n’a pas le droit de te remettre en question de la sorte, tu es l’épouse parfaite…tu es…tu es toi et ça devrait lui suffire ! Répondis-je.

Non je ne comprenais pas les hommes qui prenait des épouses seulement pour un héritier, pour moi avoir une épouse c’est aussi un autre devoir que le devoir conjugal, il faut la choyé, lui donner des présents, de l’attention, l’écouter.
Non décidément je ne comprendrais jamais ce genre d’homme, le genre d’homme qu’était mon père, un lâche, un misérable.
Je serais meilleur que lui, j’aurais une épouse parfaite qui sera comblé dans tous les domaines, des enfants qui seront aussi nobles que moi.
Oui je serais l’un des plus grands, des plus riche et des plus noble sorcier de notre monde, moi et ma future famille.
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Emèra Macnair

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MessageSujet: Re: Une charmante visite [Emera]   Une charmante visite [Emera] EmptyJeu 4 Oct - 19:54

- Plait-il ? Ai-je bien entendu ? demanda Aaron avec un sourire qui réchauffa le coeur d'Emèra. Tu comptes me recommandez auprès de ton père ? Ma chère j’en suis flatté ! Et je ne veux pas t’offensé ma chère au contraire, je pense que cela te plaira de savoir que ta jument sera la bienvenue mais qu’elle restera ta propriété. Après tout tu es ici chez toi !

La jeune femme eut un nouveau rire, tout aussi entraînant. Ses yeux noisettes pétillants de joie et ses lèvres finement écartées en un délicieux sourire. Elle s'autorisa un petit instant la vision de revoir sa jument, voir même, de la monter. La sorcière, en amazone, les jambes ramenées sur un unique coté du cheval, ses longs cheveux châtains ondoyant dans l'air, le vent frappant ses joues rougies, quelques cris de joie s'échappant de sa gorge...
Elle reporta finalement son attention sur Aaron. Non, c'était ridicule. Elle n'avait pas revu sa jument depuis huit ans. Jamais son amie ne se souviendrait d'elle. Et puis, de toute manière, Walden entrerait dans une colère noire s'il apprenait que son épouse remontait à cheval et que c'était Aaron qui l'y autorisait.
Emèra avait beau le nier, elle savait parfaitement que Walden haïssait son ami, et encore pire, elle savait pourquoi. Aaron était ce que Walden n'était pas. C'était une forme de jalousie, oui. Le Macnair convoitait la notoriété du Vawlish et il craignait d'y perdre Emèra. Comme si elle était cupide. Comme si elle s'en irait dans les bras de son mari comme ça, du jour au lendemain. Comme si Emèra n'était pas une femme loyale... Oh, bien sûr, elle avait honte, mais elle y avait déjà songé plus d'une fois, principalement lorsque Walden s'en prenait à elle et qu'elle venait trouver refuge chez Aaron. Combien de fois avait-elle trouvé paix et réconfort dans ses bras puissants ? Combien de fois, alors qu'il essuyait ses larmes, s'était-elle demandé comment aurait été sa vie si ça avait été à la famille Vawlish qu'elle avait été promise ? Combien de fois, seule et abandonnée dans le lit conjugal et tard dans la nuit, elle s'était demandée ce qu'il se produirait si elle s'en allait, comme ça, pour disparaître à jamais ?
Mais bien-sûr, jamais Emèra ne le ferait. La fuite était répugnante et indigne des Sangs-Purs, alors, elle l'avait décidé, jamais elle ne s'enfuirait du manoir Macnair. Quitter Walden ? Jamais elle n'en aurait le courage.
Honteuse des pensées qui traversaient son esprit, la douce Emèra préféra retourner à la conversation qui concernait sa jument.

- Tu sais... je ne pense pas que je puisse remonter ma jument. Déjà... parce que ça fait bien trop longtemps, fit-elle en riant. Et puis, Walden ne le tolèrerait jamais.

Finalement, au bout de huit ans de mariage, Emèra connaissait Walden par coeur et pouvait anticiper la moindre de ses réactions. C'était peut-être justement ce qui faisait d'elle une épouse si « parfaite ». Elle savait quand réagir, mais surtout, comment réagir.

Puis, s'en était suivit leur discution très gênante qu'Emèra fut soulagée de voir prendre fin. Elle était persuadée qu'Aaron avait voulu bien faire et avait voulu l'aider, non pas la déranger mais elle ne pouvait pas s'empêcher de craindre que ce médicomage trouve en effet quelque chose qui n'allait pas bien chez elle. Si tout était sa faute ? Que ferait-elle ? Walden ne voudrait même plus d'elle...

Mais Aaron s'était mit en colère, chose des plus inhabituelles. Emèra était désormais dans la plus dégradante posture possible, mais elle s'en fichait. A genoux devant son ami, suppliante, elle n'osait plus croiser son regard. Il embrassa ses mains alors qu'elle appuyait son front sur les genoux du sorcier.

- Comment ne pas me mettre en colère quand je t’entends dire de telle chose Emera ? Tu n’a pas le droit de te remettre en question de la sorte, tu es l’épouse parfaite…tu es…tu es toi et ça devrait lui suffire ! rétorqua-t-il.

- Excuse-moi...
bafouilla-t-elle. Je suis désolée...

Elle ne releva pas les yeux vers lui, tellement habituée a se soumettre entièrement avec Walden que s'en était devenu un automatisme. Surtout vu les circonstances.

- Calme-toi, je t'en conjure... implora-t-elle d'une voix douce en serrant ses mains dans les siennes. Calme toi...

Ses paroles étaient simples et brèves, mais elle le demandait d'une manière si douce, que s'en était presque une berceuse. Emèra, maternelle. Une Emèra qui avait bien du mal a voir le jour. Même si la jeune femme était tout a fait pré-disposée a devenir une mère parfaite, il lui manquait tout de même l'essentiel : un enfant.
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Aaron Vawlish

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MessageSujet: Re: Une charmante visite [Emera]   Une charmante visite [Emera] EmptyVen 2 Nov - 9:51

La jeune femme paraissait plus apeurée qu’amoureuse de son mari. Pourtant je pensé que la vision de remonté à cheval lui donnerait du plaisir et lui permettrais de reprendre confiance en elle. Car Emera me donnait cette impression, ce feu qui s’éteint tout doucement, jonché de braise prête à s’enflammé, il suffit de trouver comme ravivé le feu qui est en elle.

- Tu sais... je ne pense pas que je puisse remonter ma jument. Déjà... parce que ça fait bien trop longtemps, fit-elle en riant. Et puis, Walden ne le tolèrerait jamais.

Walden, Walden, Walden….Je commençais sérieusement à en avoir ras les rouflaquettes de Walden McNair et de ses intolérances.

Soit….J’irais donc lui parler, et il peut piquer sa colère comme un enfant à qui on prend son balai-jouet, qu’importe, il n’est pas de taille face à moi…Puis franchement, je ne vois pas pourquoi il refuserait que sa femme soit heureuse…Quel homme se réjouirais de la tristesse de son épouse ? Dis-je sur un ton plat.

Mais la suite partie quelque peu en dérive, noyée dans une colère que je n’aurais pas du émettre en sa douce présente.
Mais je ne pouvais m’empêché de vouloir tout craché, McNair était horripilent envers son épouse, sa manière de s’en occupé était immonde et Emera était une proche amie, une douce amie, quelqu’un que je refusais de voir souffrir.

- Excuse-moi... bafouilla-t-elle. Je suis désolée...Calme toi je t’en conjure, calme toi

Ses fines mains serrés les miennes, sa voix trahissait une peur et une tristesse indéchifrable, je me sentais mal maintenant. Mal de savoir qu’elle était dans cet état par ma faute, je soupirais et tentai de reprendre mon calme.

Non…C’est à moi de m’excuser….Je me suis laisser emporter…depuis qu’il J’eu un moment de silence, mes pensées infantiles sur la mort de ma mère avait refait surface…Je ne supporte plus de voir une femme souffrir…Pardonne moi ! Terminais-je en serrant ses doigts si délicats que je fis porter à mes lèvres.

Je ne parlais jamais de mon enfance, à vrai dire, tout bon sorcier pensait que j’étais le pauvre jeune héritier qui avait perdu sa mère si jeune, puis son père quand il eut fini ses études, un meurtre tragique qui ne fut jamais élucidé.
Seul le maitre connait la vérité. Lui seul que j’ai tué mon paternel pour vengé la mort de ma mère et obtenir ce qui me revint de droit, c’est moi et moi seul qui méritait toute la fortune de la famille.
Et j’avais juré de traité toute les femmes avec délicatesse, passions et amour, toute sans exceptions, pour moi sans la femme, nous les hommes nous serions rien…

Alors voir Emera si triste me rendait fou de rage, j’avais peur, peur qu’elle subisse que ce ma mère avait obtenue, et a cette époque je ne pouvais pas la protégé, alors que Emera…Oui je peux la protéger, quitte a supprimé McNair je le ferais, le maitre sera surement en colère de savoir que j’affronte un de mes camarades mais je jouerais la carte du minisète, un espion, j’inventerais, malgré tout il a une totale confiance en moi et si je trouve quelque chose de parfait, aucune once de mensonge ne me sera octroyais. Même si je suis capable de lui annoncer que j’ai tué cet homme pour protégé une femme, qu’il me défie depuis longtemps et que j’ai voulu y mettre un terme.
Mais je ne le ferais pas…Il y’a a pire que la mort comme punition et je trouverais….oui je trouverais
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