Andromeda Tonks
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Date d'inscription : 19/08/2012
 | | Sujet: Toi & moi ça ne peut être que bons souvenirs Feat Ted Tonks Dim 16 Sep - 20:29 | |
| Ce qu’on peut-être bête à seize ans. C’est la constatation que faisait Andromeda depuis une bonne heure qu’elle relisait son vieux journal intime qu’elle avait tenu adolescente. Certains passages lui avaient laissé un goût amer en bouche tandis que d’autres l’avaient porté à sourire et même à rire. Elle ne se souvenait même pas avoir écrit autant de chose à propos de Ted. Toujours en termes très élogieux !
24 décembre 1970
Je viens de rentrer de chez Ted ! Quatre jours absolument fantastiques ! Jamais je n’aurais cru pouvoir mettre un jour les pieds chez Ted, chez les moldus, j’ai une dette envers Gabrielle pour cela mais Merlin ! Cela en valait bien la peine.
Sa famille est absolument adorable, même si je crois que son frère ne m’apprécie pas trop. J’aime beaucoup sa sœur, c’est quelqu’un de très gentil et de raffiné. Sa mère est également une femme remarquable même si j’ai particulièrement honte qu’elle nous ait trouvé Ted et moi dans le même lit alors qu’Anne m’avait laissé sa chambre. Cependant nous nous sommes bien tenus cela va de soi. En parlant de ça… J’ai bien cru que j’allais défaillir quand j’ai senti son corps chaud et doux tout contre moi. Et ses muscles ! Par Merlin ! Mon Theodore à un corps superbe, un vrai corps d’athlète. Il est si séduisant que si je n’avais pas été aussi timide et bien élevée je ne sais pas ce qui aurait pu se passer. Mais oublions cela. Juste une chose : J’ai hâte de pouvoir redormir tout près de lui, ces quatre nuits furent les meilleures de toute ma vie. Je l’aime. ♥
Je n’ai pas voulu lui donner son cadeau de Noël avant l’heure alors j’espère pouvoir lui envoyer un hibou afin de connaitre sa réaction quand sa sœur lui aura donné, elle a été adorable de bien vouloir le cacher jusqu’à demain matin pour moi. Sur ce je vais retrouver la table lugubre et les déblatérations racistes de ma chere famille qui hurle qu’il est l’heure de passé à table. »
Plongée dans sa lecture le sourire aux lèvres elle ne se rendit même pas compte que son mari était rentré et lisait par-dessus son épaule depuis quelques minutes. Et pourtant jamais elle ne lui avait faire lire, elle avait trop honte pour cela même si en vérité ses écrits d’adolescente étaient plutôt mignons et attendrissants. Lorsqu’enfin elle s’aperçut de sa présence elle referma le journal et tapa – doucement – sur le bras de son mari l’air faussement offusquée mais les joues rougies par la gêne.
« Eyh ! De quel droit te permets-tu mon cher monsieur Tonks de lire mes petits secrets ! » Lui lança-t-elle en souriant avant de déposer ses lèvres sur celles de son époux. Lançant un regard vers le réveil qui trônait sur la table de nuit elle remarqua qu’il n’était même pas seize heures trentes. « Tu es rentré tôt ce soir, je ne t’attendais pas si tôt, je faisais un peu de tri et je suis retombée là-dessus et sur nos vieux album photos. J’ai déposé Nymphadora chez tes parents, ils voulaient l’emmener avec eux pour le week end, ils vont à Plymouth je crois. » | |
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Ted Tonks
Messages : 26
Date d'inscription : 20/08/2012
Localisation : Dans les bureaux de la BBC ou à la maison, avec sa famille / en train de regarder un match de foot avec Edgar tout en mangeant des chips et buvant une Bierreaubeurre. / Jouer avec sa fille ou encore dans son garage à prendre soin de sa magnifique voiture!
| | Sujet: Re: Toi & moi ça ne peut être que bons souvenirs Feat Ted Tonks Dim 23 Sep - 19:14 | |
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« Ted, t'es à l'antenne dans trois minutes ! Dépêche-toi ! » fit Harry Melster en débarquant dans sa loge sans même prévenir, recherchant Ted qui, dans sa loge, révisait un morceau de musique sur sa guitare.
« J'arrive ! » fit l'interpellé tandis que le dénommé Harry ressortait de la loge – aussi vite qu'il y était entré. Dès sept heures du matin, il était toujours ainsi. Depuis cinq ans que Ted travaillait ici après avoir fait quelques émissions sans conséquences pour des petites radios pas trop connues, il avait toujours connu Harry-débordant-d'énergie de bon matin. Il s'était toujours demandé comment il faisait. Il faudrait qu'il lui demande sa recette un jour...
Aujourd'hui, ils ouvraient sur une émission de musique puis cinq minutes d'actualités et enfin, uns émission de littérature/culture. Ted faisait la musique comme vous vous en doutiez. Il lui arrivait également de temps en temps de jouer un ou deux morceaux que le public et son équipe appréciait beaucoup. Quoiqu'il en soit, il était prévu qu'il finisse plus tôt aujourd'hui. Il allait faire la surprise à la maison...
Du moins, il en avait l'intention, mais lorsqu'il entra dans la maison, tout était trop silencieux. Nymphadora n'avait pas entendu la porte d'entrée s'ouvrir ; ce qui était étrange. Elle ne devait pas être là. Parce que sinon, elle venait toujours l'accueillir et à peine était-il entré, qu'il voyait un tourbillon de cheveux roses lui obscurcir la vue et un « Papaaa » lui percer presque les tympans. Même s'il ne la réprimandait jamais pour cela...
Ce jour-là, il n'y eut personne pour venir l'accueillir et visitant toutes les pièces de la maison du rez-de-chaussée à l'étage, il constata l'absence de sa fille. C'était étrange aussi qu'Andromeda ne soit pas dans la cuisine ; il pensait que c'était sa pièce préférée en fait étant donné le temps qu'elle y passait normalement. Mais là, elle n'était pas dans la cuisine et il alla voir dans leur chambre. Lorsqu'il entra dans leur chambre, elle était bien là mais ne sembla pas l'entendre arriver. Il se posta juste derrière elle et jeta un coup d'oeil par-dessus son épaule pour voir ce qu'elle faisait. Une sorte de livre était posé sur ses genoux et ne pouvant s'empêcher de lire un peu ce dont il s'agissait, il se rendit compte que c'était son journal intime. Il eut le temps d'apercevoir quelques phrases avant qu'elle ne se rende compte de sa présence et qu'il ne soit découvert. Il était de toutes façons trop tard pour prétendre n'avoir rien vu, donc il ne bougea pas d'où il était. La jeune femme prit cela avec humour, lui dit qu'elle ne l'attendait pas si tôt avant de déposer ses lèvres sur celles de son époux.
« Et oui, que veux-tu... Je voulais te surprendre en compagnie de ton amant donc je suis revenu plus tôt que prévu. Mais je vois que ton amant est en vérité ton journal... ou alors il s'est caché dans la penderie... » Il se laissa nonchalamment tomber sur le lit et glissa ses bras sous la tête. « J'aime particulièrement la façon dont tu me décris dans le second paragraphe. » ajouta t-il avec un léger sourire. Corps superbe, vrai corps d'athlète, séduisant... Ces quatre nuits furent les meilleures de ma vie. Et puis, il était rare qu'elle lui dise 'directement' et de vive voix ce qu'elle pense de lui, donc cela lui faisait plaisir de lire de telles choses...
« Les albums, oh oui... » Il se redressa sur les coudes et se mit sur le côté avant d'en attraper un et de le feuilleter lui aussi. « Oh, celle-là... C'est Edgar qui l'a pris. Je m'en souviens comme si c'était hier... C'est notre première sortie ! Une semaine pile poil après que je t'ai demandée de sortir !... Et, oh celle-là aussi, je l'adore ! Je me rappelle... » Il s'interrompit et sauta du lit pour se mettre par terre devant elle. Un genou au sol, il lui saisit la main. Il la porta ensuite à ses lèvres. « Je crois que je suis toujours fou. » Fou, fou... D'elle évidemment !
La seconde photo, inutile d'aller plus loin : c'était une qui relatait le jour où ils s'étaient fiancés pour de bon. Il se releva pour s'asseoir sur le bord du lit avant de reprendre... « Donc Nymphadora est avec ses grands-parents. Je me disais bien, il m'avait manqué quelque chose en arrivant à la maison... Je n'ai pas eu de petite tornade rose à me sauter au cou. » finit-il en riant et en enlaçant d'un bras à la taille sa femme.
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